Soirée nouveau polar français : Norek + Lebel + Barrellon

jeudi
02
juin
20h00

Rencontres et Débats

Lieu : Le Genre urbain - Librairie 60 RUE DE BELLEVILLE 75020 PARIS

Rencontre - débat avec Olivier Norek, Nicolas Lebel et Nils Barrellon autour de leur livre respectif : Surtensions (Prix  L Point du polar européen - Michel Lafon),  Sans pitié, ni remords (Marabout) et La position des tireurs couchés (Fleur sauvage). Cette soirée sera aussi l'occasion d'aborder l'évolution du polar français.

 

Notes des éditeurs :

Surtensions : Cette sœur acceptera-t-elle le marché risqué qu’on lui propose pour faire évader son frère de la prison la plus dangereuse de France ? De quoi ce père sera-t-il capable pour sauver sa famille des quatre prédateurs qui ont fait irruption dans sa maison et qui comptent y rester ? Comment cinq criminels - un pédophile, un assassin, un ancien légionnaire serbe, un kidnappeur et un braqueur - se retrouvent-ils dans une même histoire et pourquoi Coste fonce-t-il dans ce nid de vipères, mettant en danger ceux qui comptent le plus pour lui ? Des âmes perdues, des meurtres par amour, des flics en anges déchus : la rédemption passe parfois par la vengeance… Pour cette nouvelle enquête du capitaine Coste, Olivier Norek pousse ses personnages jusqu’à leur point de rupture. Et lorsqu’on menace un membre de son équipe, Coste embrasse ses démons.

- La position des tireurs couchés : Zlatan, tireur d'élite à la BRI est témoin d'un braquage de banque. Mais il se pourrait que cette affaire ait un lien avec son passé de sniper en Bosnie.

Sans pitié, ni remords : 9 novembre, cimetière du Montparnasse. Le capitaine Mehrlicht assiste, en compagnie de son équipe, aux obsèques de son meilleur ami, Jacques Morel. Quelques heures plus tard, il se retrouve dans le bureau d'un notaire qui lui remet, comme « héritage », une enveloppe contenant un diamant brut. Il s'agit de l'un des yeux d'une statue africaine, le Gardien des Esprits, dérobée dix ans auparavant lors du déménagement du Musée des arts africains et océaniens, que Jacques avait supervisé, et recherchée depuis par la « Police de l'Art ». Merlicht prend un congé et son équipe se retrouve sous le commandement du capitaine Cuvier, un type imbuvable aux multiples casseroles, quand les inspecteurs Latour et Dossantos sont appelés sur la scène de l'apparent suicide d'un retraité. Quelques heures plus tard, ils assistent impuissants à la défenestration d'une femme qui, se sentant menacée, avait demandé la protection de la police. Les deux « suicidés » avaient un point commun : ils travaillaient ensemble au MAOO lors de son déménagement. Ces événements marquent le début de 48 heures de folie qui vont entraîner Mehrlicht et son équipe dans une course contre la montre, sur la piste de meurtriers dont la cruauté et la détermination trouvent leur origine dans leur passé de légionnaires. Une enquête sous haute tension, dans laquelle débordent la fureur et les échos des conflits qui bouleversent le monde en ce début de XXIe siècle.