Apathy for the devil : les seventies, voyage au coeur des ténèbres

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 477 pages
Poids : 248 g
Dimensions : 11cm X 17cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7436-2661-7
EAN : 9782743626617

Apathy for the devil

les seventies, voyage au coeur des ténèbres

de

chez Rivages

Collection(s) : Rivages Rouge

Paru le | Broché 477 pages

Tout public

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traduit de l'anglais par Laurence Romance


Les libraires en parlent

Anne-Marie Marchand (ATOUT LIVRE)

Nick Kent journaliste travaille pour le NME, New Musical Express journal musical underground. A travers sa vie plongé dans l'univers sulfureux des années 70. Vous découvrirez les Stone, Led Zep, Iggy est bien d'autre à travers leurs tournées et leurs frasques en tous genre. Plus qu'un livre sur le rock c'est toute une époque qui vous sautera aux yeux. 

Personnage haut en couleur, qui ne s'épargne pas et qui n'a pas épargné les autres non plus. 

C'est top et fort plaisant

Quatrième de couverture

À l'aube des années soixante-dix, le jeune Nick Kent rejoint le New Musical Express. Rapidement devenu la plume la plus prestigieuse de l'hebdomadaire anglais, il y signe des articles qui imposeront le titre comme une référence de la presse musicale. Son approche journalistique, l'implication maximale, amène Kent à fréquenter de près les Stones, Led Zeppelin, Iggy Pop, Bowie, les Sex Pistols, pour le meilleur et pour le pire. Apathy For The Devil raconte son histoire, de l'ascension à la chute, et déroule la chronique d'une décennie rock éclatante. Comme l'écriture de Kent lui-même qui, sans jamais se départir d'une élégance toute british, manie avec brio humour et panache dans ce livre fulgurant.

«Kent casse certains poncifs et signe là un beau compagnon de bibliothèque des oeuvres de Lester Bangs.» Hugo Cassavetti, Télérama

«Racontée par Nick Kent, cette décennie se lit comme un conte moral.» Books

«Dans ce livre sans complaisance, à l'écriture pleine d'élégance et de passion, l'affable Nick Kent annonce la fin du rock - en tout cas dans ce qu'il a eu de subversif.» Myriam Perfetti, Marianne

«Plus que London Calling ou Brown Sugar, plus que les aliens de Bowie ou les éructations de Johnny Rotten, les écrits de Nick Kent personnifient les seventies.» Sam Wolfson, New Musical Express