Biogate : pour en finir avec l'utopie du bio

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 226 pages
Poids : 297 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37254-219-7
EAN : 9782372542197

Biogate

pour en finir avec l'utopie du bio

de

chez Mareuil

Paru le | Broché 226 pages

Tout public

19.00 Disponible - Expédié sous 4 jours ouvrés
Ajouter au panier

Quatrième de couverture

Que se cache-t-il derrière le « bio », et ses promesses de produits « propres » et sains ? Une belle philosophie de vie et une agriculture vertueuse ? Une pure logique marketing et un business juteux ?

L'univers du bio est complexe, opaque, et il fallait toute l'expertise de François Grudet - agriculteur- chercheur durant 50 ans, inventeur de la culture en rond et en spirale - pour nous éclairer sur les arcanes de ce bio désormais de masse, dont les méthodes de production sont très loin de l'utopie entretenue par les publicitaires.

Preuves à l'appui, François Grudet démontre en effet que, contrairement aux idées reçues, « les producteurs bio ont une obligation de moyen sans obligation de résultat ». Que les contrôles scientifiques attendus sont souvent remplacés par des déclarations de bonne foi. Que des produits industriels sont homologués « bio » par centaines, alors qu'ils peuvent s'avérer fort néfastes. Et que, si l'on convertissait 100% de la surface cultivable de notre pays au bio, comme d'aucuns le réclament, il ne pourrait nourrir en réalité qu'un tiers de la population française.

L'auteur propose une alternative : l'agriculture « raisonnée et scientifique », qui s'appuie sur une analyse fine des besoins de la terre et des cultures, et produit des aliments sans aucune toxicité pour un coût inférieur à celui du bio. Cette agriculture est sans aucun doute l'avenir, le nôtre comme celui de nos enfants.

Biographie

François Grudet, agriculteur, inventeur et homme d'affaires, à fait reculer le désert en Lybie sous Kadhafi puis dans de nombreux pays du Moyen-Orient. Fort d'une expérience et d'une réussite hors du commun, il endosse ici un nouveau rôle : celui de lanceur d'alerte.