Quatrième de
couverture
Bordeaux vit sa prospérité s'envoler en 1740. Les voiliers revenaient d'Amérique chargés de sucre, de rhum, de café, de tabac, de coton et d'indigo. Mais pour exploiter les plantations d'outre Atlantique, il fallait une nombreuse main-d'oeuvre bon marché. On y déporta des Noirs d'Afrique, avec la complicité des chefs de tribus. Ainsi est né le trafic appelé pudiquement "le bois d'ében".