Carnets d'une longue marche : nouveau voyage d'Istanbul à Xi'an

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 153 pages
Poids : 943 g
Dimensions : 25cm X 30cm
Date de parution :
EAN : 9782752901170

Carnets d'une longue marche

nouveau voyage d'Istanbul à Xi'an

de ,

chez Phébus

Paru le | Broché 153 pages

Tout public

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aquarelles de François Dermaut


Quatrième de couverture

Bernard Ollivier, l'auteur fêté des trois volumes de Longue marche (Traverser l'Anatolie, Vers Samarcande, Le Vent des steppes), après avoir arpenté pendant trois ans la légendaire Route de la Soie d'Istanbul à Xi'an en Chine - soit près de douze mille kilomètres de marche solitaire au coeur de l'Asie -, a eu la nostalgie des paysages et des passants du Grand Chemin. Surtout il voulait en fixer, pour lui et quelques-uns de ses lecteurs, les images fuyantes avant que l'oubli et les progrès de la mondialisation, qui tuent à la fois les lieux des hommes et leur mémoire, ne fassent leur oeuvre. Piètre photographe, il a décidé de refaire le chemin - à bord de divers véhicules, cette fois - en compagnie d'un illustrateur adepte comme lui de la marche: François Dermaut, reconnu aujourd'hui comme l'un des meilleurs aquarellistes de son époque.

Et nous suivons nos deux compères le long de la même piste, au plaisir de rencontres plus ou moins attendues (encore que ce voyage-là non plus n'ait pas été sans surprises), retrouvant avec eux, mais avec un tout autre regard, les âpres montagnes d'Anatolie, les ruelles du vieux Tabriz, les coupoles de Samarcande, les cavaliers - et les cavalières - du Ferghana, les crêtes du Pamir, les bazars déjà chinois de Kashgar... mais évitant cette fois les terribles vents du Gobi qui rendent fou...

Biographie

«Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas pour un écrivain. Le résultat est qu'il écrit souvent mieux que les écrivains-voyageurs patentés: simplement, avec pour seul souci, plutôt que la belle page, le compte rendu véritable de son expérience. Il ne voyage pas pour écrire ni pour faire un livre. Il voyage comme le font tant de héros de Conrad: pour se découvrir.» Pierre Lepape Le Monde

Bernard Ollivier

Il s'étonne un peu de voir que son aventure de marcheur impénitent le long de la Route de la Soie (près de 12000 kilomètres au total), menée pourtant avec une exemplaire discrétion et nourrissant un livre plutôt intimiste (trois volumes en tout: Longue marche, 2000; Vers Samarcande, 2001; Le Vent des steppes, 2003), aussi étrangère que possible à la mythologie moderne de l'exploit, ait fini par devenir un phénomène médiatique. La tête ne lui a pas tourné pour autant: la presse, il faut dire, et les libraires (et les lecteurs) ont été particulièrement sensibles au caractère peu démonstratif, réservé même, de sa démarche (si l'on ose dire).

Revenant ici sur ses pas, quelques années plus tard, en compagnie d'un chasseur d'images adepte lui aussi du «Grand Chemin» (l'aquarelliste François Dermaut), il conserve intact le regard doucement étonné qu'il jette à l'habitude sur le monde... et tout spécialement sur les spécimens de l'humaine espèce qu'il a le don d'apprivoiser en cours de route.

Une vertu rare qui lui avait valu les applaudissements de la critique:

«Passionnant. Mieux qu'un récit de voyage, un itinéraire à la rencontre de l'autre.»

Alexis Liebaert L'événement

Du même auteur : Bernard Ollivier


Du même auteur : François Dermaut