Cette opposition qui s'appelle la vie

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 300 pages
Poids : 285 g
Dimensions : 13cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-246-75461-9
EAN : 9782246754619

Cette opposition qui s'appelle la vie

de

chez Grasset

Paru le | Broché 300 pages

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Quatrième de couverture

Cette opposition qui s'appelle la vie

Assistons-nous à la fin d'un monde ou à la naissance d'une ère nouvelle ? Les multiples crises que nous traversons, financière, sociale, morale, culturelle sont des symptômes. Mais de quoi ? C'est cette question que se pose Jean-Marie Rouart dans ce livre caustique, ironique voire polémique. Scrutant les événements et les hommes, l'insolent brosse dans un style iconoclaste les portraits des personnages qui sont au centre du système. D'abord la constellation sarkozienne : le trépidant président, Carla qui met la République en chansons, Rachida Dati, icône de la diversité mais victime de la mode, l'ombrageux Fillon, un volcan sous un lac glacé qui digère les couleuvres et attend son heure. Cette crise, comment le parti socialiste, au coeur des contradictions françaises, y échapperait-il ?

Rouart décrypte ce qui se dissimule sous la rivalité Ségolène Royal-Martine Aubry dans la perspective de la rénovation du parti sous l'oeil de ces prédateurs avides que sont Bayrou Raminagrobis et Besancenot l'angelot diabolique. Mais le regard que l'écrivain porte sur notre société va au-delà du microcosme politique. Il cherche quelles sont les bulles d'impostures qui suivront le dégonflement de la bulle financière. Jean-Marie Rouart tente dans ce psychodrame de comprendre les fantasmes contradictoires d'une société égarée, inquiète, à la fois dépravée et en quête de renouveau spirituel.

Biographie

Jean-Marie Rouart, de l'Académie française, est l'auteur d'une oeuvre importante où l'on retiendra, entre autres, chez Grasset, Avant-Guerre (1983, prix Renaudot), Ils ont choisi la nuit (prix de l'Essai de l'Académie française, 1985), Adieu à la France qui s'en va (2003), Mes fauves (2005), et Devoir d'insolence (2008).

Du même auteur : Jean-Marie Rouart