Coco Chanel : cette femme libre qui défia les tyrans

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 149 pages
Poids : 674 g
Dimensions : 19cm X 25cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36749-058-8
EAN : 9782367490588

Coco Chanel

cette femme libre qui défia les tyrans

de

chez Cohen & Cohen éditeurs

Collection(s) : Saint-Germain-des-Prés inédit

Paru le | Relié 149 pages

Tout public

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préface de Gabrielle Palasse-Labrunie


Quatrième de couverture

« Lorsqu'on est conditionné à penser que Chanel est coupable... alors cette culpabilité n'est plus à démontrer. Elle est établie ipso facto et rien, pas même les preuves les plus criantes, n'a le pouvoir de jeter le moindre doute sur cette culpabilité. L'endoctrinement est tel que nous voulons croire Chanel coupable. »

En cette année marquée par le cinquantenaire de la disparition de Coco Chanel, voici un livre qui édifie une digue face aux dérives simplificatrices et aux outrances indécentes destinées à exacerber l'inimitié contre Chanel.

Il fournit au lecteur les clés explicatives qui lui permettent de retrouver le sens de la juste mesure en bénéficiant de l'éclairage personnel que Chanel apporta sur « sa » guerre et du contact direct de l'auteur avec les derniers témoins de l'engagement qu'elle assuma pleinement sous l'Occupation.

Autoriser une lecture nuancée des faits, actuellement viciée par l'interprétation caricaturale prônée par les détracteurs de Chanel, est ce que propose Isée St. John Knowles dans Coco Chanel, cette femme libre qui défia les tyrans, « oeuvre d'exception qui fera date », selon Gabrielle Palasse-Labrunie, petite-nièce de Chanel.

Biographie

Né à Saint-Germain-des-Prés, Isée St John Knowles a reçu une formation philosophique et littéraire à l'université d'Oxford avant d'assumer la direction du Musée Limouse des Fleurs du Mal à Roquebrune-Cap-Martin, puis à Chester (GB) de 1979 à 2001. L'opiniâtre détermination qu'il déploie depuis près d'un demi-siècle, en France et à l'étranger, pour arracher de l'oubli collectif le passé baudelairien de Saint-Germain-des-Prés, lui valut la reconnaissance de Jean-Louis Barrault ou de « l'amie inventée » de Saint-Exupéry, Renée de Saussine. Lui faisant hommage des Lettres de jeunesse à l'amie inventée (Gallimard, 1976), elle signa cette dédicace : « Pour Isée qu'Antoine eût sûrement aimé. »