Collection(s) : Littérature étrangère
Paru le 08/04/2021 | Broché 140 pages
traduit de l'anglais par Madeleine Nasalik
Sophie Martinez (LIBRAIRIE L'ATELIER)
Une réflexion éclairante, bienveillante et émouvante sur le rapport que Kae Tempest entretient à l'écriture et au monde. Un (r)appel à l'empathie et à la connexion.
Géraldine Dauget (LA MANOEUVRE)
Eloge de la création comme instrument d'émancipation et de réinvention de soi. Un essai particulièrement revigorant en ces temps de crise généralisée.
« Quand la connexion s'établit, tout est relié et converge vers un moment d'émotion partagée, vers une affinité créatrice qui arrime chaque personne à un présent vécu comme une expérience collective. »
Printemps 2020 : alors que la crise du Covid-19 impose au monde de se calfeutrer et prive de scène des milliers d'artistes, Kae Tempest nous livre une réflexion toute personnelle sur la créativité et ce qui la nourrit.
À l'heure où les réseaux sociaux nous poussent à la représentation perpétuelle, où l'apathie nous gagne au point de nous faire oublier qui nous sommes, Tempest crie l'urgence de nous reconnecter. À nous-mêmes, aux autres, à la réalité, pour que jaillisse l'étincelle vitale de la création.
On retrouve dans ce texte tout ce qui fait sa force : une voix qui porte, cogne parfois, et une grâce hors du temps.