Paru le 08/06/2020 | Broché 201 pages
Tout public
Le présent livre est un rapport d'audit sur le Covid-19 qui a consisté à analyser la communication et les actions des autorités compétentes dans les médias.
Durant l'épidémie, la position des autorités françaises a évolué sur les masques. D'inutiles, voire dangereux, ils sont devenus obligatoires dans les transports, mais pas dans les commerces, ce qui est paradoxal.
En France, les plages sont interdites et les gendarmes pourchassent les surfeurs, tandis que les plages de Floride sont bondées sans qu'il soit relevé de cas de contamination. Dans le même temps, un Coréen a contaminé 20 personnes dans une discothèque. Bizarre, non ?
La distanciation sociale est de 1 m selon l'OMS, mais des pays appliquent une distance de 1,5 m, d'autres de 2 m et des infectiologues estiment que les virus demeure 4 heures d'ans l'air. Qui dit vrai ?
Après vérification, nous avons déterminé que 50 % des informations distillées par les grands médias sur le Covid-19 au cours du premier trimestre 2020 relevaient de la manipulation mentale.
L'audit a comparé l'évolution du plan « anti pandémie » depuis la grippe H1N1 jusqu'à 2019 et les mesures appliquées en 2020.
La myopie des dirigeants français et la mondialisation ont placé la France, premier producteur de masque mondial avec un stock de 700 millions de masques FFP2 en 2010, au niveau d'un pays sous-développé avec un stock de zéro masque en 2020.
Le confinement aurait été inutile si le premier « plan pandémie » n'avait pas été altéré afin de coller aux contraintes budgétaires !
On retrouve dans le scandale sanitaire du coronavirus les mêmes ingrédients que dans les scandales du sang contaminé, de l'amiante, et de la peste noire : la recherche du profit ou d'économies à court terme et le pari de faire payer son incurie par ses successeurs.
Michel Muller, né en 1952, est ingénieur de l'École Centrale de Lille, MBA EM Lyon.
Il a créé une méthodologie d'audit judiciaire qu'il a appliqué à l'affaire Grégory.
