traduit du grec par Constantin Kaïtéris
Quatrième de
couverture
Cette maison ennemie, c'est tout simplement celle du narrateur quand il est pris, comme tant d'autres, dans le filet de lumière qui le captive la nuit : la télévision. Il devient alors l'observateur piégé d'une vie parallèle où règnent l'absurde, l'ennui, le cauchemar. Bien sûr il y a des issues de secours : le rêve, les fantasmes, le recours aux souvenirs d'enfance.