Quatrième de
couverture
René Depestre, d'origine haïtienne, revient sur la malédiction des femmes et des hommes enchaînés dans les cales des navires négriers, sur les traces que leur calvaire a laissées dans l'imaginaire des survivants et de leurs descendants, sur une histoire caraïbe en quelque sorte crucffiée. "Il y a encore une mer à traverser..." (Aimé Césaire)