Les grandes puissances, l'Empire ottoman et les Arméniens dans les archives françaises : 1914-1918

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 769 pages
Poids : 1275 g
Dimensions : 18cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37604-005-7
EAN : 9782376040057

Les grandes puissances, l'Empire ottoman et les Arméniens dans les archives françaises

1914-1918

chez SIGEST

Paru le | Broché 769 pages

Public motivé

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préface de Jean-Baptiste Duroselle | postface de Raymond Kévorkian


Quatrième de couverture

« Question en suspens de l'histoire contemporaine » : tel est le jugement d'Arthur Beylerian sur la question arménienne, telle qu'elle dérive de conflits séculaires et plus particulièrement du drame épouvantable des années 1915 et 1916...

Arthur Beylerian, avec un inlassable courage et selon les méthodes historiques les plus éprouvées, est devenu l'un des meilleurs spécialistes mondiaux de la « question » arménienne. Il a travaillé dans presque tous les dépôts d'archives européens, Union soviétique comprise, et aux États-Unis. La formidable documentation qu'il a réunie lui a permis, s'agissant des archives françaises, de pouvoir les replacer dans un cadre extrêmement large et d'en bien situer l'importance.

Par ailleurs, alors qu'il existe depuis longtemps un recueil anglais et un recueil allemand concernant les affaires d'Arménie pendant la grande guerre, rien de tel n'existait pour les documents français...

De tels documents méritaient de sortir de l'ombre.

Biographie

Arthur Beylerian, né à Istanbul, a effectué ses études secondaires à l'école Mérametdjian, au Collège des Pères Mekhitaristes de Pangalti et à l'Ecole Guetronagan. Puis, il fréquente la Faculté de Littérature et d'Archéologie de l'Université de Beyazit et obtient les diplômes suivants : Histoire des arts d'Europe (1952), Archéologie (1953), Géographie générale (1955), Histoire de l'art turc islamique (1956).
Pendant une courte période, il a assumé la direction du Séminaire Sourp Khatch Tbrevank (Sainte Croix) d'Istanbul.
En 1959, il émigre en France et suit des cours à la Sorbonne. En 1972, il soutient sa thèse de Doctorat de 3e cycle « Origine de la question arménienne, du traité de San-Stefano au Congrès de Berlin » (non publiée). Il est l'auteur de très nombreux articles en arménien et en français dans les revues spécialisées et dans les journaux généralistes.
Il était un spécialiste de la Question arménienne, de l'Histoire ottomane, de l'Histoire turque des XIXe et XXe siècles et un des rares connaisseurs de la langue turque ancienne.