Hippolyte Verré : capitaine au long cours et armateur : Oléron 1828-Nantes 1899

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 241 pages
Poids : 432 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84654-523-5
EAN : 9782846545235

Hippolyte Verré

capitaine au long cours et armateur
Oléron 1828-Nantes 1899

de

chez les Indes savantes

Collection(s) : Collection Aquitaine , Rivages des Xantons

Paru le | Broché 241 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

vers 45/50 ans, ils se retirent et deviennent armateurs à temps plein, c'est-à-dire qu'ils se contentent alors d'armer des navires dont ils confient le commandement à de jeunes capitaines.

Pour chaque voyage décrit dans ce livre, l'auteur a retrouvé l'armateur, le capitaine, la destination du navire et les différentes escales, les marchandises transportées à l'aller et au retour, le déchargement du navire avec les bénéficiaires du chargement, et, quand il existe, le rapport de mer du capitaine.

L'ouvrage livre le tableau passionnant d'une dynastie de capitaines-armateurs de la seconde moitié du XIXe siècle, le jeu des alliances matrimoniales d'Oléron à Nantes, et bien sûr les navigations et les activités commerciales dans l'Atlantique, l'océan Indien et le Pacifique.

Biographie

Né en 1947, à Nantes, Pierre Maussion se passionne pour la généalogie depuis une trentaine d'années. Après une carrière dans la gestion de l'Enseignement supérieur, il s'est intéressé à l'histoire des ancêtres de son épouse. Il retraça d'abord la vie d'Isaac Goguet, un orfèvre de Saintes, qui avait laissé de riches archives, puis à celle d'Hippolyte Verré, natif de Saint-Georges d'Oléron, capitaine au long cours puis armateur à Nantes.

Hippolyte Verré, né à Saint-Georges d'Oléron en 1828, mort à Nantes en 1899, est un arrière-grand-père de l'épouse de l'auteur. Il était capitaine au long cours et a possédé et commandé plusieurs trois-mâts : la Jeune Marie, la Marguerite et la Divatte, dont l'histoire a été reconstituée depuis leur construction, l'historique de leurs voyages, jusqu'à leur disparition. Cette étude s'intéresse également aux deux grands pères de son épouse, mariniers de Loire, à son beau-frère Jules Pichaud, capitaine au long cours, à deux cousins de son épouse, Gustav Feydt et Gabriel Bronkhorst, eux aussi capitaines au long cours et enfin à Etienne Barjolle, le dernier capitaine et propriétaire de la Marguerite.

Nés tous les cinq autour de l'année 1830, ils suivent des trajectoires parallèles. Ils commencent très jeunes comme mousses, puis ils ont le parcours classique de jeunes hommes doués et ambitieux, d'abord novices, puis matelots, lieutenants, seconds. Ils obtiennent, jeunes, leur brevet de capitaine au long cours et commandent, comme salariés, de grands trois-mâts. Après quelques années au service d'un ou de plusieurs armateurs nantais, bordelais, havrais ou marseillais, ils prennent des parts dans les bateaux qu'ils commandent, ou achètent leur propre bateau, souvent grâce à la dot de leur femme. La maturité venue,