Jazz de France : le guide-annuaire du jazz en France : artistes, agents, festivals, clubs, labels, écoles, médias

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 607 pages
Poids : 820 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782916668086

Jazz de France

le guide-annuaire du jazz en France
artistes, agents, festivals, clubs, labels, écoles, médias

de

chez Centre national de la musique

Paru le | Broché 607 pages

Tout public

36.00 Indisponible

préface Pascal Anquetil


Quatrième de couverture

Avec cette cinquième édition depuis l'an 2000, Jazz de France, le guide-annuaire du jazz publié par le Centre d'information du jazz de l'Irma, a pour objectif de dessiner la carte du jazz hexagonal la plus à jour et exacte possible, sans sectarisme ni esprit de chapelle. Afin de s'imposer comme l'outil professionnel indispensable pour tous les amateurs et acteurs de jazz, musiques improvisées et innovantes, swing manouche, électrojazz, blues, gospel et salsa, dans notre pays.

À preuve, dans cette édition 2008, entièrement réactualisée, on trouvera 6 150 fiches et plus de 10 000 contacts. À savoir, la photographie la plus précise du jazz « made in France » aujourd'hui.

En chiffres, cela donne : plus de 6 000 emails, 4 000 sites dont - c'est une nouveauté 2008 - plus de 900 sites de partage communautaire (« myspace »). Mais aussi plus de 3 000 musiciens et groupes, 60 collectifs d'artistes, 200 agents et producteurs, 50 concours en France comme en Europe, 520 festivals, plus de 1 200 lieux de diffusion dont 380 associations, 450 clubs et petites scènes et 385 salles de plus de 400 places. Il faut y ajouter : 120 journalistes, 80 radios, 130 labels, 200 écoles, etc.

Une nouveauté dans cette édition : une enquête inédite auprès d'un échantillon composé de 250 musiciens, de tout âge et tout style, afin de mieux connaître les diverses sources de revenus (scène, studio, enseignement, etc.) et les conditions économiques d'exercice du métier de « musicien de jazz » (à prendre dans sa plus libre et large acception) aujourd'hui en France. Elle démontre que, dans un monde professionnel saturé et concurrentiel, « vivre du jazz » n'est pas une sinécure et que l'avenir s'annonce à l'horizon pour la grande majorité des musiciens sombre et inquiétant.