L'emprise de l'organisation

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 373 pages
Poids : 252 g
Dimensions : 11cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8004-1640-3
EAN : 9782800416403

L'emprise de l'organisation

chez Ed. de l'Université de Bruxelles

Collection(s) : UBlire

Paru le | Broché 373 pages

Public motivé

Poche
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préface Jean Vandewattyne, Vincent de Gauléjac | postface Jean Vandewattyne, Divine Ndahabonimana


Quatrième de couverture

L'emprise de l'organisation

Publié pour la première fois en 1979 par les Presses Universitaires de France, L'emprise de l'organisation en est à sa sixième réédition, ce qui témoigné de l'intérêt récurrent que cet ouvrage a suscité et peut encore susciter. Cet intérêt tient aux aspects profondément innovants de la recherche menée par Max Pagès et l'équipe de jeunes chercheurs qu'il a réunie autour de lui. A cela s'ajoute la découverte d'une organisation fascinante, peu étudiée à l'époque, qui préfigure la révolution managériale des années 1980/1990.

L'entreprise hypermoderne, nommée dans le livre TLTX, est présentée comme une « multinationale américaine, employant une forte proportion de personnel qualifié, dont l'activité s'étend à l'échelle mondiale. Elle produit un matériel de haute technologie et fait appel aux techniques de management les plus sophistiquées. Notre recherche porta sur une filiale européenne de TLTX. » Derrière cet acronyme se cache l'International Business Machines Corporation (IBM), la plus importante multinationale de l'époque. Quant à la filiale européenne mentionnée, il s'agit d'IBM Belgique.

La version originale de l'ouvrage a été complétée par un avant-propos de Vincent de Gaulejac et Jean Vandewattyne (Université de Mons-UMONS) et par une postface de Jean Vandewattyne et Divine Ndahabonimana (UMONS). Alors que l'avant-propos replace la recherche dans le contexte de l'époque, la postface s'attache à retracer la métamorphose d'IBM tant au plan mondial qu'au niveau belge. Elle montre notamment que les mécanismes au fondement de l'emprise ont été retravaillés en profondeur par les restructurations successives et l'éclatement du modèle social à l'oeuvre du temps de la splendeur de la multinationale.

Biographie

Max Pagès (1926-2018) est une figure marquante de la psychosociologie française. Il a fondé le Laboratoire de Changement Social à l'Université Paris-Dauphine où il enseignait. Il a publié de nombreux ouvrages dont La vie affective des groupes et Le travail d'exister.

Michel Bonetti (1948) est diplômé de l'Ecole des HEC et docteur en sociologie. Après avoir été Directeur de Recherche au Laboratoire de Sociologie Urbaine Générative, il dirige le Laboratoire de Recherche « Le Sens Urbain ». Il a publié plusieurs ouvrages de sociologie urbaine.

Vincent de Gaulejac (1946) est Professeur émérite à l'Université Paris Diderot, Président du réseau international de sociologie clinique, Docteur honoris causa des Universités de Mons (Belgique) et Rosario (Argentine). Il est notamment l'auteur de La société malade de la gestion et Travail, les raisons de la colère.

Daniel Descendre (1945), psychologue de formation, a été assistant à l'Université libre de Bruxelles où il a animé des séminaires et des groupes de réflexion. Adepte de la bioénergie et de la Gestalt-thérapie, il a exercé en tant que gestalt-thérapeute pendant plus de 40 ans. Il a publié dans ces divers domaines.