L'indépendance, un combat qui continue ! : Algérie 1962-1974

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 367 pages
Poids : 615 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782915293418

L'indépendance, un combat qui continue !

Algérie 1962-1974

de

chez Tirésias

Collection(s) : Ces oubliés de l'histoire

Paru le | Broché 367 pages

Tout public

25.00 Disponible - Expédié sous 5 jours ouvrés
Ajouter au panier

préface Arezki Metref


Quatrième de couverture

En débarquant à Alger en 1830, les Français ont fait de l'Algérie (la Régence) un territoire de guerre (Dar-El-H'arb) où tout Musulman avait pour devoir de combattre l'étranger infidèle.

Bugeaud a reconnu «l'ascendant surnaturel qu'Abd-El-Kader a su exercer sur ses concitoyens en prenant la tête de ce combat». Le maréchal Soult a écrit du chef algérien «qu'il a donné à son pays et à sa population une sorte d'unité nationale, qu'il a créé entre les tribus un lien de solidarité administrative, qu'il les a habitués à une obéissance à l'autorité centrale et a inauguré la perception des impôts, la justice et l'enseignement».

Durant les dix-sept années qu'a duré, sous Abd-El-Kader, la résistance à la conquête, il est apparu que l'Algérie était en voie de devenir un Etat moderne que la colonisation a proscrit jusqu'en 1962.

L'Indépendance, un combat qui continue raconte, à travers ce qu'en a connu l'auteur, les premiers pas du nouvel Etat algérien issu de l'insurrection déclenchée le 1er novembre 1954; premiers pas entravés par l'héritage frelaté de la colonisation, par les bouleversements subis par la société et les individus depuis 1830, par les obstacles semés par l'ex-colonisateur, par les pressions impérialistes à l'encontre du projet d'instaurer une République Algérienne Démocratique et Populaire!

L'auteur, expulsé d'Algérie en avril 1955 pour son engagement contre la répression y est revenu en coopération de 1962 à 1974.

- Illustrations photographiques et documents.

Biographie

Jean Galland est né en 1928 dans le Cher. En 1950, il part enseigner en Algérie, dans le Sud puis en Kabylie. Il milite dans les rangs du PCA et subit la répression colonialiste. En 1955, il est le premier Français expulsé d'Algérie par Jacques Soustelle après le vote de la loi sur l'Etat d'urgence. A Noël 1962, il retourne en Algérie exercer en coopération jusqu'en 1974. Il termine sa carrière comme principale de collège dans l'Indre-et-Loire où il est actuellement en retraite à Esvres (37320).