préface Bruno Curatolo
Quatrième de
couverture
En recréant, parfois de manière très fantaisiste la personnalité de Diogène, Raymond Guérin s'identifie à la figure majeure du cynisme antique. Conscient de la vanité des hommes, de leur dérision, l'auteur s'appuie, pour mettre à mal les illusions modernes, sur celui qui, se promenant à Athènes un jour à midi une lanterne à la main disait à ceux qui l'interrogeaient : "Je cherche un homme."