notes et postface de Jérôme Solal
Quatrième de
couverture
L'auteur cherche à définir l'étoffe morale de l'anarchisme. Il dénonce les fausses morales imposées par le prêtre, le juge, le gouvernant. Pour autant, il ne nie pas la nécessité d'une éthique et considère comme moral ce qui est utile à la société.