Paru le 08/10/2019 | Broché 248 pages
traduit de l'allemand par Armand Pierhal, Maurice Muller-Strauss | postface Johann Chapoutot
Loic Laveissiere (LA LIBRAIRIE DU CANAL)
Tous les personnages de ce roman, qu'ils soient anciens SS, partisans ou ennemis du IIIe Reich récemment déchu, représentent une facette de l'Allemagne ravagée par le nazisme.
C'est lyrique, baroque, sombre et merveilleusement écrit. Un roman d'une grande richesse symbolique.
Philippe Guazzo (LE COMPTOIR DES MOTS)
Au sortir de la guerre, Siegfried a rompu les ponts avec sa famille nazie. Mais voici que toute la tribu se retrouve fortuitement réunie à Rome, où les démons du passé rodent avec les chats errants et la haine flirte avec la tragédie antique.
Dès 1954, ce puissant roman polyphonique questionnait frontalement l'Allemagne d'après guerre dans une parabole oscillant entre lyrisme baroque et modernisme.
A lire absolument !
Natacha de la Simone (LIBRAIRIE L'ATELIER)
la Mort à Rome n'est pas un roman confortable. IL dérange, sombre de cette période terrible des années qui suivirent le nazisme. Inconfortable mais puissant. insidieusement. il colle à l'âme, pesant de noirceur. s'en dégage une sensation de "NO FUTUR", sans la rage punk, mais lucide et acéré, sans compromis.