La présence française en Autriche (1945-1946). Vol. 2. Relations humaines, questions économiques, prisonniers de guerre, le problème du Tyrol du Sud

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 229 pages
Poids : 378 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782877753821

Relations humaines, questions économiques, prisonniers de guerre, le problème du Tyrol du Sud

de

chez Publications de l'Université de Rouen

Serie : La présence française en Autriche (1945-1946). Vol 2

Collection(s) : Publications de l'Université de Rouen et du Havre

Paru le | Broché 229 pages

Professionnels

20.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Quelles étaient les réactions de la puissance d'occupation face aux désirs et attentes de la population autrichienne ? Comment ses plus hauts représentants géraient-ils la situation paradoxale de mettre sous tutelle et d'occuper militairement un « pays ami » ? Comment se développaient les relations quotidiennes entre occupants et occupés, et plus particulièrement entre femmes autrichiennes et soldats des troupes d'occupation ? Pourquoi l'économie du Tyrol et du Vorarlberg réussit-elle à redémarrer plus rapidement que celle des autres zones d'occupation, si bien qu'on se mit bientôt à parler de l'« Occident doré » ? Quel rôle joua la France dans la passation du Deuxième Accord de Contrôle en 1946, destiné à réduire le contrôle exercé par l'occupant tout en permettant aux Autrichiens de regagner des libertés essentielles et une souveraineté considérablement élargie ? Comment les prisonniers de guerre autrichiens étaient-ils traités par Paris ? Comment la puissance d'occupation installée au Tyrol voyait-elle l'évolution de la question du Tyrol du Sud dans les années 1945/46, décisives pour le tracé définitif de la frontière ?
Voilà quelques-unes des questions auxquelles on découvrira des réponses - nouvelles et parfois inattendues - dans ce deuxième volume de La présence française en Autriche.

Biographie

L'auteur, Klaus Eisterer, professeur à l'Institut d'Histoire du Temps Présent de l'Université d'Innsbruck, a eu l'occasion de consulter pour son ouvrage, en plus des documents autrichiens disponibles à Vienne, Innsbruck et Bregenz, et des documents suisses accessibles à Berne, les riches archives du Gouvernement militaire français (Colmar), de l'Armée de terre (Vincennes) et du Ministère des Affaires étrangères (Paris).

Avec le concours du Conseil Général de Seine-Maritime