La seule propagande qui vaille se nomme vérité : discours sur la responsabilité et le devenir des médias

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 66 pages
Poids : 80 g
Dimensions : 11cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-491285-09-8
EAN : 9782491285098

La seule propagande qui vaille se nomme vérité

discours sur la responsabilité et le devenir des médias

de

chez Qui mal y pense éditions

Paru le | Broché 66 pages

Tout public

Poche
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traduit et annoté par Siméon Saint-Louis | traduction révisée par Alexei du Périer | préface de Sébastien Mort | postface d'Anne-Sophie Novel


Quatrième de couverture

« Opulents, bedonnants et complaisants envers nous-mêmes, nous sommes devenus allergiques aux informations désagréables ou dérangeantes. Et nos médias en sont le reflet. il serait bon que nous nous réveillions de notre torpeur et reconnaissions que la télévision ne sert plus aujourd'hui qu'à nous distraire, à nous tromper, à nous divertir et à nous isoler...Sans quoi cette télévision mais aussi ceux qui la financent, ceux qui la regardent et ceux qui y travaillent pourraient être rattrapés, trop tard, par une tout autre réalité. »

Journaliste vedette du réseau CBS, sur lequel il officia de 1935 à 1961, Edward R. Murrow est un pionnier des médias modernes, qui révolutionna le traitement radiophonique et télévisuel de l'Information. Visionnaire admiré pour son Intégrité et sa pugnacité, il Incarne encore pour beaucoup dÀméricains un âge d'or révolu de l'investigation et de l'éthique journalistique. De sa couverture du second conflit mondial à ses enquêtes sur l'exploitation des classes ouvrières afro-américaines au début des années 1960, Murrow fut le visage et la voix de l'Information pour les millions d'auditeurs et de téléspectateurs qui suivaient Hear It Now, See It Now, CBS Reports ou Person to Person. Le combat acharné qu'il mena à partir de 1953 contre le sénateur McCarthy et la tentation de l'arbitraire, en pleine Guerre froide, fut porté à I'écran par George Clooney dans le film Good Night, and Good Luck.

Percutant, Implacable et prémonitoire, le discours qu'il prononça devant ses pairs un soir d'octobre 1958 sonne comme un testament en même temps qu'un avertissement à l'usage de toute une profession... mais plus encore de nos sociétés démocratiques.