Le barrage SEC : Saint-Etienne-Cantalès, Saint-Gérons sur la Cère (Cantal) : 1930-1946. Vol. 1. De la construction à l'inauguration par le général de Gaulle et le sultan du Maroc

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 128 pages
Poids : 580 g
Dimensions : 21cm X 30cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-9547205-5-5
EAN : 9782954720555

De la construction à l'inauguration par le général de Gaulle et le sultan du Maroc

de

chez Authrefois

Serie : Le barrage sec : Saint-Etienne-Cantalès, Saint-Gérons sur la Cère (Cantal) : 1930-1946. Vol 1

Collection(s) : Auvergne résistante

Paru le | Broché 128 pages

Tout public

16.00 Indisponible

préface Nicole Druilhe-Pequay


Quatrième de couverture

La construction du barrage de Saint-Étienne-Cantalès (Cantal, région Auvergne-Rhône-Alpes) a été un des plus grands chantiers qu'a connu ce département, entre 1930 et 1946, avec la génération de travaux annexes (batardeau de Pradel - pont de la Marie sur l'Authre - viaduc du Ribeyrès sur la Cère - poste de transformation électrique Gatellier - barrage de la retenue de Nèpes - cité de Pradel). Ce barrage, situé sur la Cère (120 km) et qui absorbe dans sa retenue son confluent avec l'Authre, est un régulateur de la rivière Dordogne, qui irrigue, en aval de Bretenoux (Lot), les régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine. Le barrage SEC (initiales de la commune), conçu par l'ingénieur André Coyne, est construit, durant la Seconde Guerre mondiale, par des salariés de la Société des forces motrices du Cantal, des entreprises André Borie, Entreprise Industrielle et autres. Le livre contient des photos d'époque, souvent datées, des histoires humaines et des photos de la vidange de 1999. Il rend hommage aux artisans de cette oeuvre collective enrichie de créativité individuelle, dont celle de Santiago Rubió, grand-père de l'auteur, ingénieur réfugié républicain espagnol.

Biographie

Manuel Rispal
Pour le cinquième livre que publie et édite Manuel Rispal, historien de terrain, l'auteur synthétise une enquête débutée lors de la vidange du barrage de Saint-Étienne-Cantalès (SEC pour les intimes), durant l'été 1999. Elle lui tient à coeur parce qu'il comprend l'ambiance des chantiers pour avoir travaillé dix ans dans le bâtiment, que c'était une base d'appui de la Résistance, que son grand-père y a travaillé comme ingénieur. Mais aussi il met en images et en textes ce que lui ont confié des témoins et des familles qu'il a interrogés, sans oublier des agents EDF et SNCF qui l'ont soutenu dans son enquête.