Le dernier parrain français : François Marcantoni

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 198 pages
Poids : 373 g
Dimensions : 17cm X 23cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-492545-01-6
EAN : 9782492545016

Le dernier parrain français

François Marcantoni

de ,

chez Jacques-Marie Laffont

Paru le | Broché 198 pages

Tout public

19.00 Indisponible

préface de Roland Dumas


Quatrième de couverture

À quoi tient le destin d'un homme ?

Celui de François Marcantoni se résume en trois dates.

1941 : le jeune homme a intégré le prestigieux Arsenal, à Toulon, en tant qu'artificier. La guerre vient d'éclater. Le 27 novembre 1942, il participe au sabordage de la flotte. Comme de nombreux compatriotes insulaires, il intègre le réseau de Résistance du Var, les MUR.

1953 : François Marcantoni s'est converti... en gangster ! Parrainé par deux compatriotes, le voilà devenu homme du Milieu à Paris. L'un de ses frères, resté à Toulon, tient un bar dans le « Petit Chicago » de la ville. Quand il est en permission, Marcantoni croise l'un des marins assidus de l'établissement : Alain Delon. Le début d'une amitié à rebondissements !

1968 : les événements de mai sont terminés, mais ils laissent des traces au sommet de l'État. De Gaulle impute en coulisses la chienlit de la crise à son Premier ministre, Georges Pompidou. Dans ce contexte, le 1er octobre, le cadavre d'un Yougoslave, Stevan Markovic, va déclencher l'une des pires tempêtes que la Ve République ait affrontées. En guest stars : le couple Pompidou et Alain Delon. En porteur de borsalino : François Marcantoni. C'est ce destin hors normes que, un peu plus de dix ans après la mort du « Commandant », Christian Chatillon fait revivre. Un récit personnel de l'auteur adressé à celui qui lui avait donné son amitié. Une amitié corse ; c'est tout dire.

Biographie

Christian Chatillon est reporter et spécialiste des affaires politico-criminelles. Professeur hors classe de lettres classiques, il s'est d'abord attelé au journalisme à la radio, avant de se tourner vers la presse écrite. C'est au cours de sa direction de la rubrique « Boulevard du crime » pour le magazine L'Optimum que l'occasion de rencontrer François Marcantoni s'est présentée.