Le perce-oreille du Luxembourg

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 199 pages
Poids : 200 g
Dimensions : 12cm X 17cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-916266-42-8
EAN : 9782916266428

Le perce-oreille du Luxembourg

de

chez Ed. Sillage

Paru le | Broché 199 pages

12.50 Indisponible

Les libraires en parlent

Géraldine Chognard (LE COMPTOIR DES MOTS)

Un grain de folie venu du pays plat : André Baillon, merveilleux écrivain belge des années 20.

Le "Perce Oreille" est le roman d'un jeune homme inéluctablement faché avec la vie - qui sait parfois en sourire, néanmoins...

David Rey (ATOUT LIVRE)

Journal de bord de la folie d’un jeune homme lucide sur sa condition d’aliéné, inventaire désespéré et foncièrement ironique d’une vie régie par un double imaginaire cruel et faussement amical, vision abrupte d’un grotesque monde médical, bref, une lecture d’été particulièrement iconoclaste.

Proche dans sa facture d’un Schwarz-Abrys, proche dans sa structure et son humour d’un Jean Pierre Martinet, l’auteur belge André Baillon est sans nul doute un de ces écrivains à risque qu’il est bon de découvrir, qui ne résume pas l’écriture à une simple thérapie, mais sublime sa vision du monde par la littérature.

Quatrième de couverture

Le Perce-oreille du Luxembourg est l'autobiographie d'un jeune homme qu'on vient d'enfermer dans un asile. Comment démêler l'entrelacs des angoisses, des scrupules, des vertiges qui l'ont mené où il se trouve ? Est-il sans signification qu'un des symptômes de son mal consiste à s'enfoncer volontairement le doigt dans l'oeil, au risque de se blesser ? Émotions adolescentes, études avortées, premières amours, amitiés ambivalentes, tout semble peu à peu s'organiser pour rendre inévitable le naufrage, en dépit de la lucidité et de l'ironie dont il peut faire preuve.

Biographie

Né à Anvers en 1875, André Baillon se lance dans une carrière chaotique de journaliste et d'écrivain après avoir dissipé l'héritage paternel. Une vie sentimentale complexe, des difficultés matérielles, des années de surmenage et une lutte permanente contre la folie auront raison de ses nerfs ; il se donne la mort en 1932.

Du même auteur : André Baillon