Le service Action au Laos 1945 : missions Kay 1 et Kay 2

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 207 pages
Poids : 1220 g
Dimensions : 22cm X 28cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35250-515-0
EAN : 9782352505150

Le service Action au Laos 1945

missions Kay 1 et Kay 2

de

chez Histoire et collections

Paru le | Relié 207 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Le service action au Laos 1945

Missions Kay 1 et Kay 2

Le 15 août 1945, l'empereur Hiro-Hito annonce la reddition du Japon. Profitant de la confusion qui s'en suit et de la faiblesse de la France, les mouvements indépendantistes font tout pour empêcher son retour dans l'Union. Au Laos, indépendantistes Lao-Issara et Viêt-Minh vont s'opposer aux quelque 500 combattants de la guérilla franco-laotienne, qui entretiennent à eux seuls l'illusion d'une présence française.

Mais ceux-ci, pour tenir, doivent impérativement être renforcés. Les seuls renforts que pourra leur envoyer le général Leclerc, consistent en quelques dizaines de parachutistes du Service Action de la DGER (Direction Générale des Etudes et Recherches) à Calcutta. La plupart d'entre eux ont une bonne expérience opérationnelle, ayant déjà été parachutés en France occupée, mais peu connaissent ce théâtre d'opérations.

Au total, 120 parachutistes seront aérotransportés mi-octobre 1945, depuis Jessore aux Indes jusqu'à Savannakhet et Paksé au Moyen-Laos : ce seront les missions Kay 1 et Kay 2. Celles-ci se révéleront plus difficiles que la simple « mission diplomatique armée » initialement imaginée. Kay 1 et Kay 2 donneront naissance début 1946 aux 1er et 2e Commandos franco-laotiens.

Biographie

Philippe Millour est le neveu de l'un de ces parachutistes : suite au coup de force japonais du 9 mars 1945, son oncle Maurice Millour, élève au lycée Albert Sarraut d'Hanoi, va rejoindre à pied la frontière chinoise depuis le Tarn Dao, puis gagner Kunming et finalement Calcutta où II va s'engager dans la DGER.
Depuis plusieurs années maintenant, Philippe Millour essaie de retrouver les détails de la carrière militaire de son oncle qui sera tué lors de son troisième séjour en Indochine, trois semaines avant le cessez-le-feu du 27 juillet 1954.