Collection(s) : Traductions du XXIe siècle
Paru le 02/02/2011 | Broché 57 pages
traduction de l'allemand Jean-Pierre Siméon | postface Philippe Olivier
Nous autres qui errons l'âme en peine ah comme nous aimons l'illusion bien douce qui nous dit : regarde ! il y a là-bas pour toi au fond de la nuit sous la glace et l'effroi la maison qu'éclaire le visage d'un amour l'illusion ? le seul bien vraiment que je possède
Ce texte - avec ou sans la musique de Schubert - est, lui aussi, une forme légère, brève, adaptable et transférable. À l'instar des nomades qui, stigmatisés en France par une autocratie pour le moins douteuse durant l'été 2010, prêtent une résonance très actuelle au Voyage d'hiver de Wilhelm Müller.
P. O.