Les carnets du train jaune. Vol. 5. Les Bouillouses : l'hydroélectricité et le génie des hommes. Vol. 2. 1910-1923

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 191 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 24cm X 17cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-917859-69-8
EAN : 9782917859698

1910-1923

de

chez Talaia

Serie : Les carnets du train jaune. Vol 5

Paru le | Broché 191 pages

Tout public

20.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Les Carnets du Train Jaune

Tome 5

Les Bouillouses : Hydroélectricité et le génie des hommes II 1910-1923

Le barrage des Bouillouses et son usine de La Cassagne ont permis de donner la vie (la force électrique) au Train Jaune.

Le centenaire de ces deux ouvrages a été célébré le 10 septembre 2010 par la SHEM sur le site même des Bouillouses. De nouveau documents, dont des photos / plaques de verre inédites, nous sont alors parvenus grâce aux héritiers des acteurs de cette époque mais aussi à nos amis les collectionneurs.

Ces photos sur la construction du barrage ont merveilleusement enrichi l'édition d'un tome (3) paru en 2014 dans la collection « Les Carnets du Train jaune ». Au terme de celui-ci, les installations étaient bien achevées mais sans eau et ne fonctionnaient pas encore...

Ce présent tome nous montre à présent les installations en eau et nous explique comment ce train fonctionnait avec cette nouvelle forme d'énergie : l'électricité. Mais l'histoire des Bouillouses ne s'arrête pas à l'aboutissement du projet initial. Une deuxième usine va naître à l'aval de la première : Fontpédrouse, avant que de sérieux soucis ne viennent plonger le barrage dans la tourmente.

Nous allons ainsi poursuivre cette « aventure des Bouillouses » et vous la faire partager... Ici pour la période 1910-1923.

Biographie

André Durban, sixième enfant d'une famille d'agriculteurs, est né le 7 décembre 1959 à Nègrepelisse dans le Tarn-et-Garonne. À la suite d'études dans le domaine de l'électromécanique, il est embauché sur titre à la SNCF en 1983. C'est dans les vallées pyrénéennes que se déroulera la plus grande partie de sa carrière. Télésurveillant à Marèges, stagiaire à Artouste, il suit entièrement la construction de Saint-Pierre-de-Marèges, de Coindre II pour finir chef de la Vallée de la Têt à La Cassagne. En 2006, à l'occasion de la restructuration de l'entreprise, il rejoint le siège de la SHEM à Balma dans la banlieue toulousaine.