traduit de l'albanais par Christiane Montécot
Quatrième de
couverture
Le chant entêtant des cigales rend fous les habitants de ce village accablé de chaleur... au point que le roman se dénoue en tragédie. Une parabole de la dictature, qui, comme l'obsédante furie des cigales, lentement envahit les cerveaux humains.