Les exploits d'Engelbrecht

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 189 pages
Poids : 250 g
Dimensions : 14cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36787-001-4
EAN : 9782367870014

Les exploits d'Engelbrecht

de

chez Passage du Nord-Ouest

Collection(s) : Traductions contemporaines

Paru le | Broché 189 pages

20.00 Indisponible

traduit de l'anglais par Christophe Grosdidier | introduction de James Cawthorn | postface de Michael Moorcock


Les libraires en parlent

Géraldine Chognard (LE COMPTOIR DES MOTS)

Engelbrecht est un nain boxeur surréaliste... Tout est dit - ou presque ! Ne passez pas à côté de ses extravagantes aventures sportives.

Hilarant, délirant, une merveille d'humour british !

Quatrième de couverture

À présent, nous avons atteint le septième stade de l'emprise narcotique. De retour à l'Abbaye du Cauchemar, nous célébrons la victoire de notre ami Engelbrecht à grand renfort d'opiacés. Ectoplasmes, sorcières et entités affreuses venues des confins de l'espace-temps abusent des fumées en l'honneur du boxeur nain. Si aucune de ces créatures ne peut affirmer avec certitude qu'Engelbrecht tire des amphétamines son inépuisable courage, toutes - à l'exception peut-être de Chippy de Zoëte, l'éthernel poison - vous diront qu'il a définitivement marqué de son empreinte minuscule la légende du sport surréaliste. Lizard Bayllis, le pessimiste manager du teigneux homoncule, se lance alors dans la lecture des Exploits d'Engelbrecht entre deux lampées de liquide d'embaumement, et nos invités des outre-mondes ne peuvent réfréner un râle de plaisir au récit du combat titanesque livré par l'avorton contre le Kraken.

Les histoires s'enchaînent et la lycanthropie nous gagne - à l'exception de Salvador Dalí, toujours coincé dans son cabinet anthropomorphique. Ce soir, bien des rires hideux s'envoleront dans la nuit des temps.

« J'avais vingt ans lorsque parurent Les Exploits d'Engelbrecht. J'en écrivis quelques pastiches que je présentai comme mon premier roman. À cette époque, j'accumulai une énorme quantité de prose expérimentale indéniablement influencée par Finnegans Wake et, bien sûr Engelbrecht, que j'adorais. C'est un texte extraordinaire, rythmé et bourré de panache, magnifiquement illustré. Moorcock en était lui aussi un fervent admirateur. Je n'ai malheureusement rencontré Richardson qu'une fois, deux semaines avant sa mort, mais je suis content d'avoir pu lui dire ô combien j'aimais son nain surréaliste. »
JG Ballard

« Le Soho de l'époque était rempli de salopards et Richardson savait se servir de ses poings. En cela, on peut dire que la personnalité d'Engelbrecht ne différait pas de celle de son créateur. Ce style querelleur s'incarne dans ces histoires, alors ne les quittez pas des yeux, elles sont l'oeuvre d'un maître de l'intelligence et de la finesse. »
Michael Moorcock