Les fondements de la doctrine sociale

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 194 pages
Poids : 401 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-204-08567-0
EAN : 9782204085670

Les fondements de la doctrine sociale

de

chez Cerf

Collection(s) : Documents des Eglises

Paru le | Broché 194 pages

Public motivé

17.00 Indisponible

préface métropolite Cyrille de Smolensk et de Kaliningrad | traduit du russe par Hyacinthe Destivelle, Alexandre Siniakov, Claire Jouniévy | notes et intertitres Hyacinthe Destivelle, Alexandre Siniakov


Quatrième de couverture

Les Fondements de la doctrine sociale, adoptés par l'Église orthodoxe russe en 2000, sont un document essentiel de l'Orthodoxie contemporaine.

L'Église orthodoxe russe, par la voix de ses évêques, y prend position sur un très grand nombre de questions concernant l'ensemble de la vie politique, économique et sociale du monde contemporain : conception orthodoxe des relations entre l'Église et l'État, de la nation et du droit, du travail et de la propriété, des relations internationales, de l'éthique familiale, des droits de l'homme, de la santé, de la bioéthique, de la culture, des médias, des relations entre science et foi, de l'écologie, de la mondialisation...

Jamais une Église orthodoxe n'avait formulé de façon aussi officielle et systématique ses positions sur un aussi vaste champ de problèmes actuels. Sur toutes ces questions, l'Église orthodoxe russe, forte de sa douloureuse expérience de persécution, inégalée dans l'histoire, par une idéologie matérialiste, tient un langage convaincu de la dimension avant tout spirituelle de l'homme. Lucides sur les périls du monde moderne, mais posant sur lui un regard résolument optimiste, Les Fondements de la doctrine sociale sont un vibrant appel au témoignage et à l'engagement des chrétiens dans la société contemporaine, notamment dans la vie politique et sociale.

Prévenue par les décennies de son martyre, l'Église orthodoxe russe se montre particulièrement vigoureuse dans son affirmation du principe de « non-ingérence » dans les relations entre l'Église et l'État et dans la revendication, pour la première fois dans l'histoire par une Église orthodoxe, du droit à la désobéissance civile pacifique en cas de désaccord avec l'autorité politique. Ce document ouvre de larges perspectives au dialogue entre Églises pour un témoignage commun des chrétiens dans le monde contemporain.