Management interculturel, altérité et identités

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 586 pages
Poids : 905 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-343-03834-6
EAN : 9782343038346

Management interculturel, altérité et identités

chez L'Harmattan

Collection(s) : Diversité culturelle et dynamique des organisations

Paru le | Broché 586 pages

Professionnels

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Pierre Arnaud, Patrick Banon, Jacqueline Barus-Michel et al. | préface de Yih-teen Lee | postface de Nicole Zangrando


Quatrième de couverture

Management interculturel, altérité et identités

Le management interculturel se fonde sur un effort permanent de remise en question de repères culturels acquis et ressentis comme universels. Dans cet ouvrage, le management interculturel est aussi appréhendé comme l'étude de personnes porteuses d'identités méconnues et victimes de dé-liaison par manque de compréhension. Nous défendons ainsi une démarche dynamique du sujet au travail, incorporant ensemble éléments dialogiques, sémantiques et pragmatiques de l'expression des identités et dimensions culturelles structurantes qui en ont précédé l'émergence.

Fruit de deux colloques internationaux mis sur pied en 2010 à l'EM Lyon et en 2012 à la HEG Arc à Neuchâtel, cet ouvrage propose le double regard croisé d'experts européens et nord-américains représentant le monde de l'entreprise, et celui de la recherche académique sur la diversité culturelle en entreprise. Il s'appuie sur des travaux de recherche et sur des témoignages d'expériences pratiques, défend l'urgence d'un management interculturel au lieu d'une gestion de la diversité risquant d'assigner des individus à résidence identitaire, et intègre les apports de l'ethnopsychanalyse.

Le projet intellectuel renvoie à une démarche de recherche et d'intervention visant à appréhender les conditions de coopération et de vivre ensemble dans une société-monde en construction.

Le management interculturel, en cherchant à mieux comprendre la signification des efforts que les sujets déploient pour accéder à une reconnaissance mutuelle, en cernant ce qu'il y a de commun entre les êtres et leurs potentialités, permet d'éviter les écueils de politiques qui entrainent souvent un excès de fixation sur les différences perçues et ce qui n'est précisément pas « partageable ».