Michi : 56 nouvelles stations du Tokaido. La voie

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 143 pages
Poids : 798 g
Dimensions : 20cm X 27cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35639-321-0
EAN : 9782356393210

Michi

56 nouvelles stations du Tokaido

de ,

chez Elytis éditions

Collection(s) : Beaux livres

Paru le | Relié 143 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Michi

Le Tōkaidō, la route de la mer de l'Est, est l'une des cinq routes majeures du Japon. Elle puise ses racines à l'époque Heian (794-1195) et constitue toujours l'axe principal qui relie Tokyo à Kyoto.

Les caractères qui composent le mot Tōkaidō et plus particulièrement le dernier, ou michi, que l'on peut traduire par « la voie », « la route », permettent d'en saisir le sens profond qui va bien au-delà de son acception la plus littérale. Ce terme michi induit l'idée d'un parcours de vie, d'un apprentissage spirituel ; il est devenu la clé de voûte de ce projet, un concept de travail. Ses différents sens se matérialisent en une multitude de voies de création inscrites autour d'une seule et même ligne, le Tōkaidō.

Artistes-voyageurs, Éléonore Levieux et Vincent Rauel ont suivi ce tracé historique à pied et en train, afin de déceler les traces visibles dans le paysage contemporain des 54 stations représentées par Hiroshige, éminent peintre japonais, au XIXe siècle.

De ce jeu de piste territorial, ils ont rapporté une documentation variée qui leur a permis de réaliser un travail graphique et cartographique illustrant chaque étape de cette route japonaise fondatrice.

L'ensemble des dessins correspondant aux 54 stations de la route historique du Tōkaidō a été réalisé avec des outils traditionnels. Chacune des vues modernes a été produite avec un pinceau unique, un bâton d'encre, une pierre à encre, le tout exécuté sur papier washi. En résulte ce carnet de voyage, entre immersion historique sur le Tōkaidō et balade graphique à travers l'esthétique japonaise.

Biographie

Respectivement architecte-urbaniste et artiste-plasticien agrégé d'arts plastiques, Éléonore Levieux et Vincent Rauel ont formé le collectif « Neotravelmakers » en 2014.
Fondés sur la réinterprétation de la figure de l'artiste-voyageur dans une dimension contemporaine, leurs projets interrogent la notion d'espace dans ses aspects avant tout artistiques et architecturaux, mais aussi géographiques, historiques, contemporains, et sociaux.