NoirEs sous surveillance : esclavage, répression, violence d'État au Canada

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 464 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 15.3cm X 22.8cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-89712-577-6
EAN : 9782897125776

NoirEs sous surveillance

esclavage, répression, violence d'État au Canada

de ,

chez MÉMOIRE D'ENCRIER

Collection(s) : Essai

Paru le | Broché 464 pages

Tout public

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traduction, Catherine Ego


Quatrième de couverture

La vérité a souvent un goût amer. Nous ne savons comment accepter nos histoires. Faut-il s'en tenir aux faits et dire la vérité ? Cet ouvrage monumental si richement documenté est précieux, il nous tire de l'oubli et du silence. Que savons-nous de l'esclavage au Canada ? Que savons-nous de la répression exercée sur les femmes et les hommes noirs ? Que savons-nous du racisme systémique ? Que savons-nous de la détresse des Autochtones, des sans-papiers, des personnes réfugiées ? Enfin fort peu... Parce que l'État construit et déconstruit les récits à travers les institutions. Les citoyen.ne.s sont ainsi condamné.e.s à reproduire une histoire qui nous échappe.L'édition originale anglaise de NoirEs sous surveillance. Esclavage, répression et violence d'État au Canada (Policing Black Lives : State Violence in Canada from Slavery to the Present, Fernwood 2017) a été nommée parmi l'un des « cent meilleurs titres de 2017 » par le Hill Times, et est en nomination pour le Atlantic Book Award.

Biographie

Militante communautaire de longue date, Robyn Maynard s'implique dans les mouvements contre le profilage racial, la violence policière, la détention et la déportation depuis plus d'une décennie. Elle a écrit dans le Washington Post,World Policy Journal, Toronto Star, Gazette de Montréalet dans le Canadian Women's Studies Journal. Elle a aussi publié un essai paru dans la revue Maisonneuvequi a mérité la distinction d' « essai le plus lu » de 2017. Ses contributions et textes sur les enjeux de la race, du genre et sur la discrimination sont enseignés au Canada et aux États-Unis. Elle est sollicitée pour son expertise par les médias locaux, nationaux et internationaux, y compris The Guardian, le Globe and Mail, ainsi que le Groupe de travail des Nations Unies sur les personnes d'ascendance africaine.

Amoureuse des mots dans toutes leurs incarnations, Catherine Ego traduit des romans, de la poésie et des essais, écrit des nouvelles, des poèmes et du « théâtre pour l'oreille », et se produit sur scène pour exalter l'écriture dans l'oralité. S'intéressant aux multiples enjeux qui parcourent et façonnent les sociétés, elle a étudié en science politique, en prévention et règlement des différends ainsi qu'en études autochtones. Finaliste des Prix littéraires du Gouverneur général en 2015, elle a remporté cette prestigieuse distinction en 2016 pour la traduction de La destruction des Indiens des Plaines (James Daschuk, PUL).

Du même auteur : Catherine Ego