Oeuvres complètes : romans, nouvelles, essais, correspondance

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 1229 pages
Poids : 905 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-07-012493-0
EAN : 9782070124930

Oeuvres complètes

romans, nouvelles, essais, correspondance

de

- La sagesse dans le sang
- Les braves gens ne courent pas les rues
- Et ce sont les violents qui l'emportent
- Mon mal vient de plus loin
- Pourquoi ces nations en tumulte ?
- Mystère et manières
- L'habitude d'être

chez Gallimard

Collection(s) : Quarto

Paru le | Broché 1229 pages

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traduit de l'anglais par M. E. Coindreau, Henri Morisset, Claude Fleurdorge et al., traduction révisée par Cécile Dutheil de La Rochère et Cyril Laumonier | préface Guy Goffette


Quatrième de couverture

Ce volume contient : La Sagesse dans le sang ¤ Les Braves Gens ne courent pas les rues : « Les braves gens ne courent pas les rues » ¤ « Le fleuve » ¤ « C'est peut-être votre vie que vous sauvez » ¤ « Un heureux événements » ¤ « Les temples du Saint-Esprit » ¤ « Le nègre factice » ¤ « Un cercle dans le feu » ¤ « Tardive rencontre avec l'ennemi » ¤ « Braves gens de la campagne » ¤ « La personne déplacée » ¤ Et ce sont les violents qui l'emportent ¤ Mon mal vient de plus loin : « Tout ce qui monte converge » ¤ « Greenleaf » ¤ « Vue sur les bois » ¤ « Mon mal vient de plus loin » ¤ « Le confort du foyer » ¤ « Les boiteux entreront les premiers » ¤ « Révélation » ¤ « Le dos de Parker » ¤ « Le jour du Jugement » ¤ Pourquoi ces nations en tumulte ? : « Le géranium » ¤ « Le barbier » ¤ « Le puma » ¤ « La récolte » ¤ « Le dindon » ¤ « La fête des azalées » ¤ « Pourquoi ces nations en tumulte ? » ¤ Mystère et manières ¤ L'Habitude d'être ¤

« Mr. Greenleaf accourait vers elle, brandissant son fusil, et elle le vit venir à elle, bien qu'elle ne regardât pas dans sa direction. Elle le vit s'approcher en longeant la lisière d'un cercle invisible, et la ligne d'arbres était béante derrière lui, et ses pieds ne foulaient que le vide. Il visa l'oeil de la bête et fit feu quatre fois. Elle n'entendit pas les détonations, mais elle perçut le tremblement de l'énorme corps alors que le taureau s'affaissait et l'entraînait dans sa chute, rivée à sa tête au point qu'elle semblait, lorsque Mr. Greenleaf fut près d'elle, se pencher sur l'oreille de l'animal et lui chuchoter une ultime révélation. »
Mon mal vient de plus loin, « Greenleaf ».

Du même auteur : Flannery O'Connor