Paysage au pluriel : la Belgique et la mise en scène du paysage pittoresque dans les albums et les livres au XIXe siècle

Fiche technique

Format : Cartonné
Nb de pages : 319 pages
Poids : 2200 g
Dimensions : 24cm X 32cm
Date de parution :
ISBN : 978-94-6161-606-7
EAN : 9789461616067

Paysage au pluriel

la Belgique et la mise en scène du paysage pittoresque dans les albums et les livres au XIXe siècle

de

chez Snoeck Publishers

Paru le | Cartonné 319 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Partant d'une grande collection particulière, Paysage au pluriel explore la culture, en Belgique, de la lithographie de paysages pittoresques au XIXe siècle. Ce fonds de lithographies constitue un « kaléidoscope inépuisable de paysages », métaphore qui, au XIXe siècle déjà, traduit l'enthousiasme des voyageurs et amateurs tout en soulignant l'esprit d'entreprise avec lequel les éditeurs se positionnent sur le marché concurrentiel des estampes et des éditions illustrées. Le pittoresque séduit l'imagination, éveille différents intérêts. En même temps, le concept lie explicitement le paysage à une expérience visuelle qui, dans les limites des schémas et des conventions, est multiple.

Paysage au pluriel, c'est le paradoxe de la découverte et de la reconnaissance, le voyage sans devoir se déplacer, l'amalgame du mot et de l'image. Le caractère propre du paysage belge se heurte régulièrement aux principes pittoresques du paysage et crée une dynamique vivante qui, dans un contexte d'industrialisation, de mobilité et de tourisme, est soutenue par la politique et la culture historique des Belges.

« Paysage au pluriel offre bien plus que l'analyse d'une technique ou d'un genre dans sa multiplicité : Lut Pil y approche en réalité toute l'histoire culturelle du XIXe siècle. C'est dans une exploration des modes de penser et de vivre de la bourgeoisie du XIXe siècle que nous entraîne l'auteur. De même, les images pittoresques dont regorgent les précieux albums nous transportent bien au-delà de la Semois, de Villers-la-Ville ou d'Ostende. »
Jo Tollebeek