Pour Luky

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 278 pages
Poids : 308 g
Dimensions : 13cm X 20cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-88250-613-9
EAN : 9782882506139

Pour Luky

de

chez Noir sur blanc

Collection(s) : Notabilia

Paru le | Broché 278 pages

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Les libraires en parlent

Léna Humbert (LE COMPTOIR DES MOTS)

Trois ados entre collège et lycée s'ennuient dans leur banlieue résidentielle sans grande perspective d'avenir. D'un trait, Aurélien Delsaux réussit à donner à ses personnages, en plein cœur des tourments amoureux, amicaux et existentiels propres à cet âge, une vraie vivacité. Un récit incarné et bienveillant !

Hélène Guibert (ATOUT LIVRE)

A travers le regard de trois adolescents, voici la chronique sur une année d'une petite ville perdue entre la ville et la campagne. Une zone périurbaine, dit-on.

Luky, Abdoul et Diego nous racontent le quotidien, l'école, la vie de famille dans lesquelles s’entremêlent l'absence d'horizon, l'ennui mais aussi les rêves qui les habitent et l'amitié indéfectible qui les unit.

Ce roman social, profondément juste et humain n'est pas sans rappeler celui de Nicolas Mathieu, dans l'analyse très fine de la jeunesse actuelle, et dans la qualité de son écriture.


Quatrième de couverture

Pour Luky

Pour Luky, c'est une année scolaire dans la vie de Luky, Abdoul et Diego, trois adolescents d'une petite ville de province. Comme un talisman face à une enfance qui s'éloigne, Abdoul, le philosophe de la bande, nous livre le récit d'une fraternité choisie.

Aurélien Delsaux est né en 1981. Il a enseigné pendant dix ans en collèges et en lycées. Il signe ici son troisième roman, après Madame Diogène et Sangliers (Prix Révélation 2017 de la Société des gens de lettres).

« Un roman extrêmement tendre, d'une rare tendresse, envers des personnages et un âge qu'on ne voit quasiment jamais dans la littérature française. C'est très beau, ce tableau de jeunes dans les périphéries, ces âmes perdues qui se cherchent. Il se passe beaucoup de choses dans ce livre, mais avec jamais une phrase de trop, avec peu de moyens mais tant de justesse. C'est d'une grande densité, d'une grande précision, et c'est ça qui rend la lecture nécessaire, touchante, vive. »
Sophie Divry

« Les vies sous-jacentes, celles qui passent sous les radars, les mineures, les nouvelles, le roman doit les dire, c'est sa raison d'être. Et pour cela, tenter d'inventer chaque fois une langue qui le pourra. Voilà ce que fait Delsaux, vite, fort, il invente une langue qui est comme un couteau papillon, qui se plie et se replie sans cesse, virevolte et blesse pour finir. »
Nicolas Mathieu

Du même auteur : Aurélien Delsaux