Traite négrière et patrimoine culturel togolais

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 269 pages
Poids : 329 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-343-25193-6
EAN : 9782343251936

Traite négrière et patrimoine culturel togolais

de

chez Harmattan Togo

Paru le | Broché 269 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Traite négrière et patrimoine culturel togolais

Il est donc une évidence que les ethnies qui peuplent aujourd'hui le Togo ont pris part à la traite négrière considérée comme une mondialisation de l'esclavage local. Les différents témoignages recueillis et les documents consultés confirment cette pratique au Togo, au sein de ce vaste ensemble pourvoyeur d'esclaves que fut le Golfe de Guinée, divisé géographiquement en quatre entités : la Côte des Graines, la Côte de l'Ivoire, la Côte de l'Or et la Côte des Esclaves.

L'auteur aborde la problématique du patrimoine culturel togolais et de la traite négrière qui a laissé au Togo et dans d'autres pays africains nombre de vestiges dont l'exploitation à des fins diverses contribue au développement. Dans ce livre, Djanguenane Nayondjoua expose les grands traits du patrimoine culturel togolais sédimentés au cours des siècles, en analysant les différentes catégories de patrimoine qui fondent l'identité du territoire et celle de la quarantaine d'ethnies peuplant le Togo. En cela, ce document constitue un vrai facteur de développement du patrimoine culturel togolais à sauvegarder et à mettre naturellement en valeur à travers le tourisme culturel et d'autres secteurs générateurs de développement.

Biographie

Né en 1957 au Togo, Nayondjoua Djanguenane est titulaire d'un master 2 en action culturelle au Centre Régional dAction Culturelle (CRAC). En 1993, il fut nommé Directeur du Musée National, des sites et monuments puis Directeur du patrimoine culturel en 2004. Entre 2006 et 2008, il servit à l'École du Patrimoine Africain (EPA) à Porto-Novo au Bénin. Il a conduit des missions au Koutammakou et dans tout le Togo pour le compte de l'UNESCO et d'autres institutions. En 2017, il soutint sa thèse intitulée : « Le Patrimoine culturel togolais lié à la traite négrière : contribution au développement ».