Transsibériades

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 115 pages
Poids : 1112 g
Dimensions : 30cm X 28cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7427-8664-0
EAN : 9782742786640

Transsibériades

de

chez Actes Sud

Paru le | Relié 115 pages

Tout public

39.60 Indisponible

Les libraires en parlent

Xavier Capodano (Le Genre urbain)

 Leica en main, Klavdij Sluban va parcourir entre 2001 et 2008 le territoire du grand Est. De la mer Baltique à la Chine, de la Finlande à la Mongolie en passant par la Russie et la Sibérie, ce photographe iconoclaste nous propose des images en marge de l’actualité chaude et immédiate. La marge, c’est cela qui anime et illustre sont travail photographique, que ce soient les vastes territoires, les villes, les gens. Dès que l’on ouvre le livre, nous prenons une claque par le contraste des images en noir et blanc qui nous sont proposées. Tout d’abord, on est saisit par une ambiance froide et poisseuse qui vous colle à la peau, que ce soit à travers une photo montrant le transsibérien, un quartier de Shanghai, le lac Baïkal ou les vastes montagnes du Tibet. Mais cette première sensation passée, le regard est touché par la lumière, fine et précise remettant l’individu, même lorsqu’il est absent du cadre, au centre des choses et des événements qui l’entourent. Le voyage que nous propose Klavdij Sluban est terrifiant et beau à la fois et pour conclure je ne résiste pas à vous citer la phrase d’Erri De Luca qui figure en quatrième de couverture : « C'est de cette zone de haine consommée que vient Klavdij Sluban, Leica en bandoulière, pellicule blanc et noir, pour raconter les Est à qui sait tout juste qu'il en existe un. [...] Le point de vue du photographe brouille les cartes : de là vient l'ombre. La neige aussi est sombre, la lumière un blanc délavé, en exil sur la surface ».

 

Quatrième de couverture

« C'est de cette zone de haine consommée que vient Klavdij Sluban, Leica en bandoulière, pellicule blanc et noir, pour raconter les Est à qui sait tout juste qu'il en existe un. [...] Le point de vue du photographe brouille les cartes : de là vient l'ombre. La neige aussi est sombre, la lumière un blanc délavé, en exil sur la surface ».
Erri De Luca

Du même auteur : Klavdij Sluban