Vinland saga. Vol. 19

Fiche technique

Format : Broché sous jaquette
Nb de pages : 189 pages
Poids : 175 g
Dimensions : 13cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36852-586-9
EAN : 9782368525869

Vinland saga. Vol. 19

de

chez Kurokawa

Serie : Vinland saga. Vol 19

Paru le | Broché sous jaquette 189 pages

Poche
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Quatrième de couverture

Vinland saga

Loin de respecter leur promesse de déposer Thorfinn et Hild sur l'île de Fionie, où Einar et les autres les attendent, les Jomsvikings les emmènent au campement militaire de Vagn. Cet ancien ami de Thors s'oppose à l'ascension de Floki, qui est prêt à tout pour faire de son petit-fils Baldur le Commandant Suprême des Jomsvikings. Si Vagn souhaite que le titre revienne à Thorfinn, celui-ci veut plus que tout continuer sa route vers le Vinland. Mais ils sont nombreux à tenter de le ramener à sa vie de guerrier, à commencer par Garm, l'assassin envogé par Floki...

L'arbalète de Hild et la lance de Garm sont de parer inventions de ma part. Sans tous ces objets nécessaires à l'histoire, j'aurais trop de mal à avancer, alors je fais de mon mieux pour les inventer, mais comme ce récit se déroule il y a près de mille ans, je me heurte à beaucoup de contraintes. Déjà, les vis de fixation n'existaient pas. Les ressorts non plus. Pas plus que de rouages. Ce serait tellement simple si je pouvais relier avec des vis les deux moitiés de la lance de Garm, mais ce n'est pas possible.

Je dois trouver d'autres idées compatibles avec la technologie de l'époque. En dessinant ce manga sur la vie des Vikings, il m'arrive souvent de tomber sur des objets usuels qui n'existaient pas à l'époque et de me dire : « hein, ça n'existait pas encore, il g a mille ans ?! Comment ils faisaient sans ?! » Ils avaient la cuillère mais pas la fourchette. Au niveau nourriture, ils n'avaient ni pomme de terre ni mais. Ils avaient des foyers pour faire le feu mais pas de cheminée, leurs chaussures n'avaient pas de talons, et personne ne portait de slip. Ah, et leurs pantalons et leurs vestes n'avaient pas de poches. C'est très gênant pour la mise en scène. Du genre : « ce type vient de sortir des pièces, mais d'où ? » Le plus triste, c'est qu'ils n'avaient pas de partitions de musique. Nous ne savons pas quelles mélodies ils jouaient ni sur quel rythme ils chantaient.

Ces connaissances ont été perdues, j'aurais pourtant aimé connaître les chants de l'Europe du Nord d'il y a mille ans. Est-ce qu'ils avaient aussi des hits du moment ?

Du même auteur : Makoto Yukimura