Paru le 06/04/2018 | Broché 141 pages
Le nouvel Attila
Février 1920. Une jeune fille se réveille amnésique dans le lit d'une clinique de Berlin après s'être jetée dans le fleuve. Le mystère autour de son identité commence, en même temps qu'une des plus grandes énigmes du XXe siècle.
Est-ce Anastasia Romanov, la dernière survivante du clan Romanov épargnée par les bolcheviques... ou Anna Anderson, l'ambitieuse petite paysanne kachoube qui réussit, sa vie durant, à donner le change auprès des familles impériales de la planète en se faisant passer pour la défunte princesse ? L'héroïne reconstruit sa mémoire et son identité... mais sont-ce bien les siennes ?
Premier roman servi par une prodigieuse langue baroque, La Femme qui ressuscite fait revivre un mystère, une réincarnation, un double portrait de femmes, et un esprit que le trouble de l'inconnu mènera à la folie.
« Sans nom, libre, elle part habiter la vie des autres. »
Nadia Oswald naît en 1991 à Ajaccio. Arrière-petite-fille d'un capitaine d'industrie alsacien, petite fille d'un scribe marocain, elle grandit en Haute-Savoie, face au mont Blanc, puis habite successivement à Borgo, Corte, Coventry, Rennes et Paris et écrit particulièrement en voyage, en Angleterre et en Italie. Diplômée de littérature anglaise et de journalisme, elle est totalement bilingue, et écrit ses textes à la fois en anglais et en français. Formée littérairement au Comte de Monte-Cristo, elle admire Jean Genet, Oscar Wilde, et Virginia Woolf.