traduit de l'anglais par Michel Doury
Quatrième de
couverture
On retrouve dans ce roman, publié en 1968, cet art de compassion et de violence, de fascination attendrie pour les destins solitaires avec à l'arrière-plan le Londres des années 60, avec son cortège de gens paumés, de petites misères, de vie ratées sur fond de musique pop.