Les amants ne devraient porter que des mocassins

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 54 pages
Poids : 75 g
Dimensions : 11cm X 15cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-940127-54-2
EAN : 9782940127542

Les amants ne devraient porter que des mocassins

de

chez Ed. Humus

Collection(s) : L'indiscrète

Paru le | Broché 54 pages

Adultes

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dessins Patricia Nik-Dad


Quatrième de couverture

Ecrivain, poète et journaliste libanaise, Joumana Haddad a ciselé un court récit autour des désirs croisés, emmêlés et contradictoires, qui apparaissent au cours d'une soirée initiatrice dans une boîte échangiste parisienne.

Avec une certaine distance ironique, son héroïne dépeint une immersion dans ce monde noctambule et interlope de tous les possibles, mais aussi son désappointement devant la fade banalité de certains comportements.

Les Mocassins nous emmènent sur les pas d'une femme libre de notre temps, à mi-chemin de la culture arabe et occidentale.

Joumana Haddad est directrice de Jasad, le premier magazine érotique en langue arabe, publié à Beyrouth.

Biographie

Joumana Haddad, «une belle brune aux seins lourds dansait lascivement devant une petite foule, et j'entendis quelqu'un dire qu'elle était algérienne. Je lui souris donc par solidarité arabe (Ah, la fameuse solidarité arabe !), elle m'attira vers elle par solidarité féminine, nous dansâmes ensemble par solidarité artistique, j'ai même tendu la main vers ses seins par solidarité esthétique ! Mais notre belle histoire se brisa soudain lorsque son mec vint me faire une proposition inconvenante impliquant trois personnes, un divan et une extrême solidarité corporelle à laquelle je ne pouvais raisonnablement adhérer.»

Patricia Nik-Dad est peintre et graveur, vivant en France.

«Je crois que ce n'est pas superflu de mentionner le fait que je sois à moitié iranienne, parce que c'est encore plus drôle de réaliser des images érotiques en ayant cette origine. C'est ma façon d'exprimer ma liberté. En art, je pense que tout est permis dans la mesure où c'est exprimé d'une manière vraiment personnelle. Je déteste l'hypocrisie qui entoure souvent l'érotisme. Je vois les choses d'une manière extrêmement simple, je dois dire que je trouve tout cela très naturel. J'en retiens le côté euphorisant aussi bien pour l'art que pour l'amour.»