The only ones

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 398 pages
Poids : 478 g
Dimensions : 14cm X 20cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37100-050-6
EAN : 9782371000506

The only ones

de

chez Le Nouvel Attila

Paru le | Broché 398 pages

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traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Théophile Sersiron


Les libraires en parlent

Mélanie Cartier (ATOUT LIVRE)

Voilà un bouquin qui déménage ! On plonge dès les premières lignes dans un univers très hostile à l’homme, que l’on découvre à travers les pensées d’une jeune femme. Moïra ne se pose pas trop de questions, et n’en a d’ailleurs pas vraiment les moyens ; son vocabulaire est réduit, elle n’a pas été très longtemps à l’école. Il faut dire que des pandémies de virus ultra-nocifs ratiboisent la population mondiale et désorganisent totalement les sociétés. Pour survivre dans une Amérique méconnaissable, où les technologies sont branlantes et où la nourriture est rare, elle est Sujet : elle vend des bouts de son corps (placenta, cellules...), voire se prête à des expériences... et un jour, tout change. La voilà qui doit faire face à un immense défi et sa conscience s’éveille.

 

Un livre qui navigue entre questionnements philosophiques et fresque trash, une histoire forte et des personnages attachants !

Quatrième de couverture

Une création mutante qui prolonge l'univers de La Servante écarlate...

« Une de nous deux doit être quelqu'un d'autre. J'ai toujours pensé que ça devait être elle. Ça pourrait être moi. »

Orpheline, pauvre, analphabète, Moira vit seule dans un New York dévasté. Étrangement immunisée contre des pandémies qui ravagent la population mondiale, elle survit en se prostituant sur les docks du Queens, vendant son corps, ses dents, ou encore ses cheveux à ceux assez riches pour payer, qui espèrent se protéger des épidémies.

Avec l'aide de Rauden, un fermier généticien, elle va utiliser son patrimoine génétique hors du commun pour vendre à une riche cliente, Rini, l'enfant immunisé dont elle rêve. Moira finit par donner naissance à un clone, Ani. Mais Rini leur fait faux bond.

Terrifiée, n'ayant jamais vu d'enfant de sa vie, tout juste capable de s'occuper d'elle-même, elle va devoir protéger sa fille des dangers de ce monde. Commence pour elle une vie inattendue, celle de mère. Car si Moira a beaucoup vécu... elle ignore encore beaucoup.

Récit d'une éducation au monde et à soi-même, ce monologue drôle, brut, déchirant et vivant, est un roman social et familial, porté par une voix féminine extraordinaire, proche du Momo d'Émile Ajar, du Huckleberry Finn de Mark Twain, et du Enig Marcheur de Russell Hoban.

Biographie

Carola Dibbell, née à Greenwich Village en 1945, est l'un des précurseurs du journalisme rock et punk féminin. Elle a été activiste féministe, a publié dans The Paris Review, The New Yorker, Village Voice. Ses essais ont été repris dans une anthologie de Rolling Stones Magazine aux côtés de ceux de grandes voix du rock comme Patti Smith, Mary Gaitskill ou Marianne Faithfull.

Lecteur assidu de ce que l'Amérique produit de meilleur, Théophile Sersiron a appris les ficelles de l'édition et de la traduction pour en faire découvrir les pépites. Traducteur de Christopher Boucher et Craig Clevenger pour sa Bibliothèque du Sasquatch au Nouvel Attila, il a aussi co-traduit Moi, Cheeta de James Lever, ainsi que Norwood, de Charles Portis, chez Cambourakis.