Collection(s) : Passage à parole
Paru le 03/03/1999 | Broché 67 pages
Tout public
«En général, les vrais poètes ne comprennent rien, mais ressentent tout. Aussi Guillaume Apollinaire, sorte de sensualiste mystique, ne comprend pas la peinture, mais la perçoit, l'éprouve. Il ne se donne pas le mal de juger. Sa sensibilité de poète, frappée devant certaines toiles, l'induit à paraphraser et à développer le spectacle qu'il a devant les yeux.»
Maurice Raynal
Sont réunies ici les pages essentielles que Guillaume Apollinaire consacra à Georges Braque entre 1907 et 1918, que le peintre, ou son œuvre, soit le sujet principal ou que la simple mention de son nom offre dans le propos une référence primordiale. Figure aussi, par opportune coïncidence, un texte capital.