Alexandre Hollan : questions aux arbres d'ici : exposition, Lodève, Cellier des évêques (Musée de Lodève hors les murs), du 18 juin au 6 novembre 2016

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 126 pages
Poids : 700 g
Dimensions : 21cm X 27cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7572-1080-2
EAN : 9782757210802

Alexandre Hollan

questions aux arbres d'ici
exposition, Lodève, Cellier des évêques (Musée de Lodève hors les murs), du 18 juin au 6 novembre 2016

chez Somogy

Paru le | Broché 126 pages

Tout public

25.00 Indisponible

textes d'Yves Michaud et Stéphane Carrayrou


Quatrième de couverture

Les dessins et peintures d'Alexandre Hollan ont une beauté et une force qui s'imposent au premier coup d'oeil. La beauté austère de ces « états-d'arbres » et la force sereine de la présence de l'artiste, sans concession à une quelconque « manière », sont là.

La question qui se pose à leur propos est simple : comment autant de simplicité (des dessins d'arbres et rien de plus) prend-elle autant de profondeur et d'intensité ? Comment derrière ce qui est donné immédiatement à voir pousse et agit une attitude d'artiste qui rend le travail « expressif » ? Alexandre Hollan pratique une forme d'expression calme et retenue, qui vise à donner « le sentiment des choses ». Ce sentiment est à mi-chemin, à l'interface, entre l'image de la chose et l'émotion qu'elle produit dans l'artiste, et donc échappe au secret du monde privé comme à l'objectivité de « ce qui est là ».

L'exposition s'appelle « Questions aux arbres d'ici » mais elle pourrait s'appeler avec autant de justesse « Réponses des arbres d'ici » puisqu'aux questions de l'être humain, les dessins et peintures apportent en même temps leur réponse : la présence miraculeuse et pourtant si banale du visible.
Yves Michaud

L'arbre peut être un intermédiaire vers l'inconnu, vers cette présence inaccessible et pourtant proche. Pour donner à l'arbre sa place intermédiaire, je dois reconnaître ce que l'oeil ne peut pas saisir, ce que je ne peux pas voir, que l'arbre est « vivant ».
Alexandre Hollan