Paru le 10/01/2002 | Broché 127 pages
Il y a cette idée de devoir quelque chose. D'être redevable. D'avoir une ardoise quelque part. Et un jour, il faut régler ses comptes.
Ma dette, envers certains écrivains, ne sera jamais réglée. Je ne m'en acquitte que d'une faible part, aujourd'hui. D'un cœur joyeux.
Philippe Djian
Philippe Djian nous offre un texte jubilatoire qui se déguste ou se dévore. Avant de se précipiter, en refermant la dernière page de son Ardoise, pour lire ou relire Salinger, Céline, Cendrars, Kerouac, Melville, Miller, Faulkner, Hemingway, Brautigan et Carver.