Collection(s) : Temps vifs
Paru le 20/03/2002 | Broché 130 pages
Tout public
A la fois peintre de la couleur foisonnante, du mouvement et personnage dionysiaque au tempérament bouillonnant - ceci étant sans doute dû à ses origines méditerranéennes -, Arlandis, derrière son franc-parler, nous offre une peinture à l'image d'une vie menée tambour battant, entre engagements personnels et leur traduction artistique.
Peintre contemporain originellement issu de la grande famille des artistes du Péano à Marseille - les fameux peintres du soleil -, il a ainsi côtoyé les Pierre Ambrogiani, Antoine Ferrari, Louis Audibert, Camille Pascal, etc.
Cependant, Arlandis ne tient à être enfermé dans aucun mouvement réducteur, aucune école, ni dans aucune chapelle artistique.
Dans son ouvrage, Jean Ferrara nous livre une biographie expressive de cette personnalité dynamique, dévorant la vie, créateur d'une œuvre en perpétuelle évolution.
Jean Ferrara fut un des plus brillants grands reporters sportifs de la presse du Sud, au Provençal et au Soir. De ce parcours sont nés plusieurs ouvrages consacrés à des footballeurs ou à la trajectoire lumineuse de l'O.M. Malheureusement, sa carrière journalistique s'est arrêtée brusquement dans les ruines du stade de Furiani. C'était un 5 mai 1992 aux alentours de 20 heures. Il y consacrera un livre émouvant en 1995 : Envoyé spécial à Furiani.
Depuis, il a conservé intact son virus de l'écriture, en publiant deux romans noirs : Tirez sur le jounaliste et Lune rouge sur Marseille. Avec Arlandis peintre de la lumière, Ferrara sort du «noir» pour aller vers la «couleur».
