Aspects de l'histoire de la Coupe du monde de football : actes du colloque organisé à Metz les 1er et 2 juin 2006

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 384 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-85730-037-3
EAN : 9782857300373

Aspects de l'histoire de la Coupe du monde de football

actes du colloque organisé à Metz les 1er et 2 juin 2006

chez Centre de recherche universitaire lorrain d'histoire

Collection(s) : Centre de recherche universitaire lorrain d'histoire

Paru le | Broché 384 pages

Public motivé

35.00 Indisponible

organisé par Centre de recherche universitaire lorrain d'histoire, site de Metz | Centre international d'étude du sport


Quatrième de couverture

C'est à dessein que ce livre porte le titre de « Aspects de l'histoire de la Coupe du monde de football ». Le comité scientifique a voulu montrer, une fois encore, que l'histoire de la Coupe du monde est une suite d'événements et d'enjeux qui couvrent tout le champ des territoires de l'historien.

Dans l'ordre de l'événementiel, des contributions montrent la lente maturation d'un projet remontant à la fondation de la FIFA en 1904. D'autres contributions s'attachent à restituer les enjeux diplomatiques particuliers à chaque championnat du monde, mais qui reflètent l'état des relations internationales. La Coupe du monde constitue aussi un chapitre de l'histoire économique et financière. L'on peut mesurer l'évolution progressive vers une sorte de gigantisme en la matière. Les Coupes du monde marquent aussi des moments importants de la montée des médias, y compris dans les pays neufs. L'approche géographique donne un aperçu de la diffusion progressive du football vers les pays du tiers monde, l'Asie et surtout l'Afrique dont l'avenir s'annonce brillant dès lors que les problèmes matériels auront trouvé des solutions correctes. Enfin, l'on pourra constater qu'un aspect capital de l'histoire du football trouve ici sa place. Il s'agit de l'histoire des styles de jeu, ce qui rappelle que le football constitue un « champ », c'est-à-dire qu'il connaît une histoire propre en dehors des enjeux qu'il véhicule par ailleurs.