Autorails de France. Vol. 5. De Dion-Bouton, Somua, Brissonneau et Lotz, Alsthom, autorails d'origine allemande, Corpet-Louvet, remorques d'autorails unifiées

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Nb de pages : 349 pages
Poids : 1818 g
Dimensions : 22cm X 31cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915035-02-5
EAN : 9782915035025

De Dion-Bouton, Somua, Brissonneau et Lotz, Alsthom, autorails d'origine allemande, Corpet-Louvet, remorques d'autorails unifiées

de

chez Vie du rail

Serie : Autorails de France. Vol 5

Paru le | Relié sous jaquette 349 pages

Tout public

69.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Ce cinquième volume accorde une large place aux chemins de fer secondaires. En effet, ceux-ci ont expérimenté très tôt des automotrices, dérivées des autocars de l'époque, pour tenter d'enrayer la concurrence routière. Après avoir passé en revue les réalisations contemporaines (Tartary, Baert et Verney, Saurer), un volumineux chapitre est consacré à De Dion-Bouton, un nom prestigieux dans le monde de l'automobile qui s'est largement investi dans le domaine ferroviaire.

Brissonneau et Lotz a produit la quasi-totalité de ses automotrices pour les réseaux secondaires français et ceux d'outremer, avec pour point commun une chaîne de traction diesel-électrique, suivant le principe développé par l'ingénieur Collardeau au sein de la firme Crochat.

C'est à sa filiale SOMUA que la fabrique Schneider de canons et de locomotives à vapeur a confié sa production de moteurs, de locotracteurs et d'automotrices. Après un prototype d'autobus sur rails, suivi d'une première série de voitures à essence, cette firme a livré des matériels plus élaborés, à structure articulée. Tout aussi originale est l'initiative de Corpet-Louvet, constructeur de locomotives à vapeur, qui a réalisé deux automotrices appliquant la technologie de son partenaire danois, la maison Frichs.

Alsthom, réputé comme constructeur de locomotives diesel et électriques, s'est associé avec l'usine pyrénéenne Soulé dans l'aventure du premier matériel bimode : l'automotrice «amphibie». Plus récemment, il a produit de petites séries d'autorails diesel-électriques pour l'exportation, avant de se lancer dans la production massive de rames modernes TER non étudiées dans ce volume.

Après le second conflit mondial, une douzaine d'autorails de la Deutsche Reichsbahn demeurés en France ont été incorporés au parc de la SNCF, tant comme autorails que comme remorques. Et ce thème des remorques, compléments indispensables des autorails, fait l'objet d'un important chapitre qui couvre trois décennies, depuis les adaptations des années d'après-guerre jusqu'à la grande famille des remorques unifiées à bogies.

Biographie

Yves Broncard, qui a fait la plus grande partie de sa carrière dans l'industrie automobile, a, de tout temps, été passionné de chemin de fer : dès 1946, il adhère à l'AFAC et collabore avec La Vie du Rail. Il est, de plus, un des photographes ferroviaires français les plus connus.

Depuis quatre décennies, il amasse de la documentation sur les autorails, dont il tire aujourd'hui cette étude de référence en cinq volumes.