- Monsieur Meidart et les voisins du dessous
- Le véritable passage du Nord-Ouest
- La bouche sans langue
Paru le 11/04/2013 | Broché 120 pages
Aux abords du fantastique
Ce livre est le centième édité par l'Arbre vengeur. Il ne ressemble ni aux précédents ni aux suivants. Il est constitué de trois textes d'auteurs inconnus découverts par Didier Barrière.
Cette trilogie nous confronte à trois dimensions du fantastique. Elle nous invite à réfléchir au pouvoir fascinant de la littérature.
Elle nous plonge dans trois mondes proches mais mystérieux.
Elle nous rappelle aussi que le livre est un objet hors du commun qui permet de mettre en forme l'indicible, la fantaisie, la folie ou l'absurde.
Pourquoi le fantastique nous attire-t-il tant ?
C'est aussi l'objet de ce centième livre.
Didier Barrière, né en 1956, est à fois correcteur d'imprimerie et responsable d'une petite bibliothèque historique à Paris. Son intérêt pour le livre en tant qu'objet total, notamment pour les curiosités littéraires et typographiques, l'a poussé à exhumer des textes insolites qui on fait l'objet de publication dans des ouvrages (un correcteur fou à l'imprimerie royale : Nicolas Cirier, éditions des Cendres, 1987 ; critiques de l'imprimerie par le docteur Néophobus, Cendres, 1989, recueil qui complète l'étude Nodier l'homme du livre parue aux éditions Plein Chant, 1989) et dans des articles pour diverses revues spécialisées (Bulletin du bibliophile), communication et langages, impressions, Le livre et l'Estampe, La Nouvelle Revue des livres anciens, etc.). Ont suivi des ouvrages moins érudits mais plus personnels, Le lecteur perpétuel et souvenirs brouillés du palais typographique, en collaboration avec le photographe Olivier Doual, où se remarque toujours cette passion de lier l'art de l'imprimerie et la littérature.
Cette fois-ci, ce sont trois auteurs contemporains complètement inconnus, Marcel Bertrand, André-Charles Naugé et Jean-François Michel, que Didier Barrière fait découvrir au public parce que leurs récits sont au coeur de la réflexion qu'il mène autour du pouvoir de la littérature et de celui du livre comme objet.
